Il y a tant à dire.
Pour moi, une seule sale période c'est 83 à 97. Le groupe ne se remettra pas de la maladie de Reese, mais les 4 derniers disques ne sont pas mauvais, notamment le dernier sorti il y a 3 ans, le plus cuivré.
D'ailleurs, ce dernier mot évoque la période en or, celle des Phoenix Horns, qui reste pour moi une des plus fabuleuses sections de souffleurs.
Dommage aussi qu'on parle surtout de Maurice, qui a fondé inspiré mais aussi coulé la belle aventure, sans doute par vénalité (voir le livre de Philip Bailey, Shining Star: Braving The éléments of EWF): Verdine est un élément clé de leur groove, un liant qui rend cette meute de talent cohérente ...