Kamasi Washington - The Epic
Funky admins : funkiness, Wonder B, silverfox
Kamasi Washington - The Epic
Kamasi Washington - The Epic (Brainfeeder BF050, 2015)
Titres :
The Epic Vol.1: The Plan
1.1 Change of the Guard 12:16
1.2 Askim 12:35
1.3 Isabelle 12:13
1.4 Final Thought 6:32
1.5 The Next Step 14:49
1.6 The Rhythm Changes 7:44
The Epic Vol.2: The Glorious Tale
2.1 Miss Understanding 8:46
2.2 Leroy and Lanisha 9:24
2.3 Re Run 8:20
2.4 Seven Prayers 7:36
2.5 Henrietta Our Hero 7:14
2.6 The Magnificent 7 12:46
The Epic Vol.3: The Historic Repetition
3.1 Re Run Home 14:06
3.2 Cherokee 8:14
3.3 Clair de Lune 11:08
3.4 Malcolm’s Theme 8:41
3.5 The Message 11:09
Credits :
Featuring: The Next Step
Kamasi Washington : saxophone
Ryan Porter : trombone
Dontae Winslow : trompette
Patrice Quinn : chant
Cameron Graves : piano
Brandon Coleman : claviers
Miles Mosley : contrebasse
Stephen Bruner : basse électrique
Tony Austin : batterie
Ronald Bruner : batterie
Leon Mobely : percussions
Special Guests:
Battlecat, Dwight Tribble, Rickey Washington, Terrace Martin
Arrangements Cordes et Chef d'orchestre : Miguel Atwood-Ferguson
Section Cordes :
Paul Cartwright : violon
Tylana Renga : violon
Jim Simone : violon
Molly Rogers : alto
Andrea Witt : alto
Ginger Murphy : violoncelle
Atryom Manukyan : violoncelle
Choeurs :
Charles Jones
Dawn Norsleet
Mashica Winslow
Nia Andrews
Steven Wayne
Taylor Graves
Thalma de Freitas
Regardez bien la pochette, vous êtes déjà télé-transporté en pleine cosmogonie solaire héritée des années soixante-dix, lisez bien le titre de cet album, il est bien faible à l'aune de ce que vous allez entendre : grandiose et pantagruélique.
On peut commencer par énumérer, comptabiliser que sur 190 titres composés, 50 ont été enregistrés et seulement 17 ont été choisis pour figurer sur cet album qui n'est pas double mais triple soit près de trois heures de musique.
On peut continuer par énumérer, comptabiliser qu'au delà des dix membres de son groupe The Next Steps (qui comporte deux pianistes, deux bassistes et deux batteurs et ça s'entend) vient s'ajouter un orchestre à cordes digne d'un Karajan (trente-deux musiciens) et un ensemble choral au accent biblique d'une vingtaine de choristes soit plus de soixante personnes en tout.
On peut finir par énumérer, comptabiliser les artistes fameux avec qui il a collaboré au nombre desquels figure Snoop Dogg et Wayne Shorter, Flying Lotus et Herbie Hancock, Kendrick Lamar, Raphael Saadiq et Chaka Khan.
On peut épiloguer en énumérant les genres qu'il mixe avec maestria : jazz, modal, jazz-funk, spiritual-free, soul, enrobé d'un coté library sur des orchestrations digne d'un Janko Nilovic dans Rythmes Contemporains.
Il s'appelle Kamasi Washington, il a trente-quatre ans, saxophoniste et c'est son premier disque sous son nom.
Il est vrai que c'est avant tout du jazz, mais il rappelle celui des années soixante-dix, aventureux, débordant sur tous les genres : un Sun Ra qui aurait écouté George Clinton mais aussi le lyrisme furieux de Gato Barbieri, les arrangements veloutés de Ogerman, le cri primal de Pharoah Sanders et les choeurs bibliques sortis droit d'un film de Cecil B. DeMille !
Change of the Guard, la fameuse rencontre de Coltrane et de Cecil B. DeMille, éblouissant (***) :
Askim, où le cri primal de Pharoah, en deuxième partie, transperce les choeurs des furies, effarant (***):
Isabelle, calme avant la tempête sous des nappes d'orgues spectrales, reposant (**) :
Final Thought, court et furieux (*) :
The Next Step, quand le Hard Bop se fait pousser des ailes symphoniques, étonnant (**):
The Rhythm Changes, l'instant SOul avec la performance vocale de Patrice, vibrant (**) :
Miss Understanding, les quatre chevaliers de l'apocalypse, frénétique (*) :
Leroy and Lanisha, ballade lyrique sous les pavés, exaltant (**) :
Re Run, la symphonie reprend ses droits, bluffant (***) :
Seven Prayers, ambiance A Silent A Way, planant (**) :
Henrietta Our Hero, ouverture du cabaret de Kamasi avec la voix de Patrice comme oiseau de nuit, kitsch (**) :
The Magnificent 7, la horde sauvage, le souffle épique (***) :
Re Run Home, l'instant Funk, royal (***) :
Cherokee, joyeux, enchanteur et dansant (*) :
Clair de Lune, des accords Rachmaninov sur une cérémonie funèbre, émouvant (**) :
Malcolm’s Theme, le retour de Malcom, comme un chant à la Sacco & Vanzetti, poignant (**) :
The Message, hommage au pur Jazz (*) :
(***) : Excellent, Sommet
(**) : Bon
(*) : Pas mal
Titres :
The Epic Vol.1: The Plan
1.1 Change of the Guard 12:16
1.2 Askim 12:35
1.3 Isabelle 12:13
1.4 Final Thought 6:32
1.5 The Next Step 14:49
1.6 The Rhythm Changes 7:44
The Epic Vol.2: The Glorious Tale
2.1 Miss Understanding 8:46
2.2 Leroy and Lanisha 9:24
2.3 Re Run 8:20
2.4 Seven Prayers 7:36
2.5 Henrietta Our Hero 7:14
2.6 The Magnificent 7 12:46
The Epic Vol.3: The Historic Repetition
3.1 Re Run Home 14:06
3.2 Cherokee 8:14
3.3 Clair de Lune 11:08
3.4 Malcolm’s Theme 8:41
3.5 The Message 11:09
Credits :
Featuring: The Next Step
Kamasi Washington : saxophone
Ryan Porter : trombone
Dontae Winslow : trompette
Patrice Quinn : chant
Cameron Graves : piano
Brandon Coleman : claviers
Miles Mosley : contrebasse
Stephen Bruner : basse électrique
Tony Austin : batterie
Ronald Bruner : batterie
Leon Mobely : percussions
Special Guests:
Battlecat, Dwight Tribble, Rickey Washington, Terrace Martin
Arrangements Cordes et Chef d'orchestre : Miguel Atwood-Ferguson
Section Cordes :
Paul Cartwright : violon
Tylana Renga : violon
Jim Simone : violon
Molly Rogers : alto
Andrea Witt : alto
Ginger Murphy : violoncelle
Atryom Manukyan : violoncelle
Choeurs :
Charles Jones
Dawn Norsleet
Mashica Winslow
Nia Andrews
Steven Wayne
Taylor Graves
Thalma de Freitas
Regardez bien la pochette, vous êtes déjà télé-transporté en pleine cosmogonie solaire héritée des années soixante-dix, lisez bien le titre de cet album, il est bien faible à l'aune de ce que vous allez entendre : grandiose et pantagruélique.
On peut commencer par énumérer, comptabiliser que sur 190 titres composés, 50 ont été enregistrés et seulement 17 ont été choisis pour figurer sur cet album qui n'est pas double mais triple soit près de trois heures de musique.
On peut continuer par énumérer, comptabiliser qu'au delà des dix membres de son groupe The Next Steps (qui comporte deux pianistes, deux bassistes et deux batteurs et ça s'entend) vient s'ajouter un orchestre à cordes digne d'un Karajan (trente-deux musiciens) et un ensemble choral au accent biblique d'une vingtaine de choristes soit plus de soixante personnes en tout.
On peut finir par énumérer, comptabiliser les artistes fameux avec qui il a collaboré au nombre desquels figure Snoop Dogg et Wayne Shorter, Flying Lotus et Herbie Hancock, Kendrick Lamar, Raphael Saadiq et Chaka Khan.
On peut épiloguer en énumérant les genres qu'il mixe avec maestria : jazz, modal, jazz-funk, spiritual-free, soul, enrobé d'un coté library sur des orchestrations digne d'un Janko Nilovic dans Rythmes Contemporains.
Il s'appelle Kamasi Washington, il a trente-quatre ans, saxophoniste et c'est son premier disque sous son nom.
Il est vrai que c'est avant tout du jazz, mais il rappelle celui des années soixante-dix, aventureux, débordant sur tous les genres : un Sun Ra qui aurait écouté George Clinton mais aussi le lyrisme furieux de Gato Barbieri, les arrangements veloutés de Ogerman, le cri primal de Pharoah Sanders et les choeurs bibliques sortis droit d'un film de Cecil B. DeMille !
Change of the Guard, la fameuse rencontre de Coltrane et de Cecil B. DeMille, éblouissant (***) :
Askim, où le cri primal de Pharoah, en deuxième partie, transperce les choeurs des furies, effarant (***):
Isabelle, calme avant la tempête sous des nappes d'orgues spectrales, reposant (**) :
Final Thought, court et furieux (*) :
The Next Step, quand le Hard Bop se fait pousser des ailes symphoniques, étonnant (**):
The Rhythm Changes, l'instant SOul avec la performance vocale de Patrice, vibrant (**) :
Miss Understanding, les quatre chevaliers de l'apocalypse, frénétique (*) :
Leroy and Lanisha, ballade lyrique sous les pavés, exaltant (**) :
Re Run, la symphonie reprend ses droits, bluffant (***) :
Seven Prayers, ambiance A Silent A Way, planant (**) :
Henrietta Our Hero, ouverture du cabaret de Kamasi avec la voix de Patrice comme oiseau de nuit, kitsch (**) :
The Magnificent 7, la horde sauvage, le souffle épique (***) :
Re Run Home, l'instant Funk, royal (***) :
Cherokee, joyeux, enchanteur et dansant (*) :
Clair de Lune, des accords Rachmaninov sur une cérémonie funèbre, émouvant (**) :
Malcolm’s Theme, le retour de Malcom, comme un chant à la Sacco & Vanzetti, poignant (**) :
The Message, hommage au pur Jazz (*) :
(***) : Excellent, Sommet
(**) : Bon
(*) : Pas mal
Modifié en dernier par Revpop le 21 mai 2015 22:23, modifié 1 fois.
Re: Kamasi Washington - The Epic
Je l'ai écouté jeudi soir trois heures durant, pendant l'écriture de la notule, et c'est une véritable orgie de sons, une explosion des sens !
Tu peux écouter cet opus magnum là
Tu peux écouter cet opus magnum là
Re: Kamasi Washington - The Epic
Merci pour le lien!
Je suis Kamasi Washington depuis quelque temps car il vient du même terreau que d'autres musiciens que j'aime bien: Stephen "Thundercat" Bruner, bassiste, et son frère Ron Bruner, batteur. Tous ensemble, ils avaient déjà sorti un album jazz que je vous recommande:
[Deezer]http://www.deezer.com/album/1119402[/Deezer]
On retrouve aussi les Bruner Brothers sur l'album de Kamasi.
D'ailleurs, pour justifier un peu plus la présence de ce poste dans ce forum, Thundercat a joué avec Leon Ware ou encore Erykha Badu et Ron Bruner avec Marcus Miller, Prince, Chaka Khan... Leur père était batteur des Temptations et ils ont été parrainés par George Duke et Stanley Clarke dès leur plus jeune âge. La classe!
Ce que fait Thundercat en solo vaut le détour pour qui aime le jazz fusion. Il renouvelle vraiment le genre et se permet même des incursions electro-jazz-funk à renvoyer Daft Punk aux oubliettes:
Je suis Kamasi Washington depuis quelque temps car il vient du même terreau que d'autres musiciens que j'aime bien: Stephen "Thundercat" Bruner, bassiste, et son frère Ron Bruner, batteur. Tous ensemble, ils avaient déjà sorti un album jazz que je vous recommande:
[Deezer]http://www.deezer.com/album/1119402[/Deezer]
On retrouve aussi les Bruner Brothers sur l'album de Kamasi.
D'ailleurs, pour justifier un peu plus la présence de ce poste dans ce forum, Thundercat a joué avec Leon Ware ou encore Erykha Badu et Ron Bruner avec Marcus Miller, Prince, Chaka Khan... Leur père était batteur des Temptations et ils ont été parrainés par George Duke et Stanley Clarke dès leur plus jeune âge. La classe!
Ce que fait Thundercat en solo vaut le détour pour qui aime le jazz fusion. Il renouvelle vraiment le genre et se permet même des incursions electro-jazz-funk à renvoyer Daft Punk aux oubliettes:
Re: Kamasi Washington - The Epic
Une trés belle interview de Kamasi ici
Il raconte la genèse de l'album, commencée il y a trois ans en s'enfermant avec son dectet dans un studio pendant un mois, jour et nuit, pour accoucher de ce monstre :
"KW: I started this record 3 years ago. I talked to Flying Lotus and he asked me to make a record for him and so I started making plans to record an album. So I started talking to my guys, who we all grew up together, we were playing a lot all over town – all of us work a lot with a lot of different people. At that point, I was touring a lot with Chaka Khan and Stanley Clarke. When we decided to start doing this record, as I was calling everybody they were like, “Man, I need to do the same thing.” I started to notice that everyone had music to record. So what we did is we decided to take a whole month off in December. None of us took any gigs. We booked a studio out and we literally every day, like (laughs), ten, eleven hours a day, and just recorded each others’ music.
Because we already have a real deep connection, we were getting through a lot of music. We looked up and I had like, I don’t know… 50 songs that I recorded, and we had like 190 songs in total. Like 3 terabytes worth of music. It was like a crazy, staggering thing. So after we recorded that music, we were pretty sick of each other from seeing eleven hours a day for 30 days in a row, so we all kind of went to our separate corners. I just started going through this music and all of it was so good. I actually was trying to reduce it to one CD.But I loved the 17 songs I ended up with and I couldn’t take anything else away, you know?
So I went to Lotus and was like, “Man, what do you think of us doing a triple disc?” because I didn’t think any of these songs could not make the record. They felt like a family, those 17 songs, somehow they felt like they all needed each other, they all needed to be together. Even though it’s 3 discs, it felt like one thing to me. Every song has its purpose, every song carries a certain weight, every song carries a certain message, musically or socially or both.
The original plan for this music was that I was gonna bring the guys in the studio, let them record really free. A lot of the stuff on the album, it sounds like it’s through-composed. But when we play, we’re very free, we take the music here and there. We don’t really follow forms or any of that stuff; you could change the changes. The music is wide open and I wanted to keep that for the recording, but I wanted the recording to feel directed. So what I did was, after we recorded the music, I wrote string and choir arrangements around the stuff that we did. So you’ll hear some of the songs, about 9 of the songs, have these string and choir arrangements that would leave you to believe that they’re through-composed, but it’s actually really free music."
Il donne sa définition du Jazz en citant James Brown (sic) :
"As far as jazz– jazz is so wide. It’s over a century old, you know what I mean? To me, it’s even more vast than what people say it is. What people say it is really, really vast, but what it actually is to me is super vast, because in my opinion, like, James Brown is jazz, in my opinion… that term “jazz”, when I think about it, if Duke Ellington and John Coltrane are jazz, then you have to say James Brown is jazz, and if James Brown is jazz then you have to say Kendrick Lamar is jazz and you have to say that Snoop Dogg is jazz because that means that Parliament is jazz. To me what that means is that that term “jazz” is so ambiguous, that you use it for what you want to use it for and you don’t use it for what you don’t want to use it for. So, I have no connection to the term, it’s just a word"
Et si vous voulez écouter quelque chose de plus Soul alors ce morceau est pour vous : The Rhythm Changes
Il raconte la genèse de l'album, commencée il y a trois ans en s'enfermant avec son dectet dans un studio pendant un mois, jour et nuit, pour accoucher de ce monstre :
"KW: I started this record 3 years ago. I talked to Flying Lotus and he asked me to make a record for him and so I started making plans to record an album. So I started talking to my guys, who we all grew up together, we were playing a lot all over town – all of us work a lot with a lot of different people. At that point, I was touring a lot with Chaka Khan and Stanley Clarke. When we decided to start doing this record, as I was calling everybody they were like, “Man, I need to do the same thing.” I started to notice that everyone had music to record. So what we did is we decided to take a whole month off in December. None of us took any gigs. We booked a studio out and we literally every day, like (laughs), ten, eleven hours a day, and just recorded each others’ music.
Because we already have a real deep connection, we were getting through a lot of music. We looked up and I had like, I don’t know… 50 songs that I recorded, and we had like 190 songs in total. Like 3 terabytes worth of music. It was like a crazy, staggering thing. So after we recorded that music, we were pretty sick of each other from seeing eleven hours a day for 30 days in a row, so we all kind of went to our separate corners. I just started going through this music and all of it was so good. I actually was trying to reduce it to one CD.But I loved the 17 songs I ended up with and I couldn’t take anything else away, you know?
So I went to Lotus and was like, “Man, what do you think of us doing a triple disc?” because I didn’t think any of these songs could not make the record. They felt like a family, those 17 songs, somehow they felt like they all needed each other, they all needed to be together. Even though it’s 3 discs, it felt like one thing to me. Every song has its purpose, every song carries a certain weight, every song carries a certain message, musically or socially or both.
The original plan for this music was that I was gonna bring the guys in the studio, let them record really free. A lot of the stuff on the album, it sounds like it’s through-composed. But when we play, we’re very free, we take the music here and there. We don’t really follow forms or any of that stuff; you could change the changes. The music is wide open and I wanted to keep that for the recording, but I wanted the recording to feel directed. So what I did was, after we recorded the music, I wrote string and choir arrangements around the stuff that we did. So you’ll hear some of the songs, about 9 of the songs, have these string and choir arrangements that would leave you to believe that they’re through-composed, but it’s actually really free music."
Il donne sa définition du Jazz en citant James Brown (sic) :
"As far as jazz– jazz is so wide. It’s over a century old, you know what I mean? To me, it’s even more vast than what people say it is. What people say it is really, really vast, but what it actually is to me is super vast, because in my opinion, like, James Brown is jazz, in my opinion… that term “jazz”, when I think about it, if Duke Ellington and John Coltrane are jazz, then you have to say James Brown is jazz, and if James Brown is jazz then you have to say Kendrick Lamar is jazz and you have to say that Snoop Dogg is jazz because that means that Parliament is jazz. To me what that means is that that term “jazz” is so ambiguous, that you use it for what you want to use it for and you don’t use it for what you don’t want to use it for. So, I have no connection to the term, it’s just a word"
Et si vous voulez écouter quelque chose de plus Soul alors ce morceau est pour vous : The Rhythm Changes
Re: Kamasi Washington - The Epic
L'extrait est mortel. Entre ça et le personnel présent, cet album promet.
Re: Kamasi Washington - The Epic
J'ai mis tous les extraits et des appréciations sur les morceaux que j'écoute en boucle depuis plus de quinze jours pour un album, hors du commun, qui sera surement à la fin de l'année encore mon album préféré !
Re: Kamasi Washington - The Epic
FABULEUX. MAGISTRAL.
"Askim" est le morceau m'ayant le plus parlé, l'intensité progressive de celui-ci m'a fait tout bonnement chavirer...
Quand je pense qu'il a dû faire un choix parmi la multitude de morceaux produits, c'est ahurissant...
Une version vinyle est apparemment prévue en quantité limitée, il va falloir surveiller ceci de près.
Je me répète bon sang, mais cet album est FANTASTIQUE...
"Askim" est le morceau m'ayant le plus parlé, l'intensité progressive de celui-ci m'a fait tout bonnement chavirer...
Quand je pense qu'il a dû faire un choix parmi la multitude de morceaux produits, c'est ahurissant...
Une version vinyle est apparemment prévue en quantité limitée, il va falloir surveiller ceci de près.
Je me répète bon sang, mais cet album est FANTASTIQUE...
Re: Kamasi Washington - The Epic
Je l'ai écouté depuis le 12 mai sur YouTube et j'ai acheté le disque aujourd'hui, après des heures à écouter et réécouter en particulier Askim qui transperce lorsque le chœur survient...
Re: Kamasi Washington - The Epic
Moi le déclic s'est fait avec "Malcolm' s Theme". Une mélodie qui continue de hanter l'esprit bien après que le disque ait cessé de tourner. Ca m'a rappelé le premier Stanley Clarke "Children Of Forever" ce jazz acoustique avec un double chant féminin masculin à l'unisson.
- funkiness
- Site Admin
Re: Kamasi Washington - The Epic
"Askim" est un pur ravissement… Chapeau bas.
funkiness brings you funk and happiness
Re: Kamasi Washington - The Epic
Album Triple Vinyle prévu autour du 20/08/2015, just wait...
Re: Kamasi Washington - The Epic
Merci Kata pour ce Live qui se révèle plus grandiose et (nettement) plus funky que l'album, c'est dire !
C'est inhumain de classe, c'est bouleversant de joie de vivre, il faut tous les voir, une quarantaine de musiciens et de chanteurs sur scène, vibrer, à l'unisson, le sourire aux lèvres, à cette musique solaire portée par un Kamasi royal dans son costume brodé d'or !
C'est inhumain de classe, c'est bouleversant de joie de vivre, il faut tous les voir, une quarantaine de musiciens et de chanteurs sur scène, vibrer, à l'unisson, le sourire aux lèvres, à cette musique solaire portée par un Kamasi royal dans son costume brodé d'or !
-
- Sujets similaires
- Réponses
- Vues
- Dernier message
-
- 4 Réponses
- 7729 Vues
-
Dernier message par Revpop
-
- 0 Réponses
- 3335 Vues
-
Dernier message par funkysoulstory
-
- 4 Réponses
- 6310 Vues
-
Dernier message par Dario
-
- 1 Réponses
- 8957 Vues
-
Dernier message par Wonder B
-
- 2 Réponses
- 3796 Vues
-
Dernier message par funkysoulstory
Funk-o-logues actuellement en ligne
Utilisateurs parcourant ce forum : Aucun Funk-o-logue et 7 extraterrestres