grosse claque, du funk comme c'est pas permis, comme on n'en entend plus en live, ça a fracassé pendant 1h30. Attaque avec "Walkin the line", puis ""Party line", et c'était déjà le feu dans le public, nombreux sans que ce soit complet. Il y avait de l'espace dans la fosse pour danser. Suivront, dans le désordre, "What's on your mind (une version terrible ! ahhhh !!!), "Celebrate", "The message" (la seule ballade), "How do you do", "Changin", "Right place", "Dance" (version psyché que foxy n'aurait pas reniée, chantée par Sandy Bilups), "Makes you feel like dancin", "Ha cha cha" (là on est tous devenus fous, un truc de malaaaade), "Attitudes", "Can you see the light", "Get up to get down (sur lequel ils ont jammé et fait les présentations), "Movin" et "L.O.V.E.U. (en rappel)
les cuivres ont balayé sévère, dégageant une puissance impressionnante, plus le groove obsédant soutenu par les coups de boutoirs syncopés du batteur... de quoi entrer en transe... ce que je fis sans me faire prier
mo-nu-men-tal ! mieux que leurs deux premiers concerts à Paris, sans aucun doute
avant et après le show, Chabin a fait un malheur, surtout à la fin, il y avait une ambiance d'enfer, le funk s'était emparé de chaque coin du NM, et Chabin qui enchaînait les perlouzes sans aller au bout des morceaux pour en mettre le plus possible sachant son temps limité (extinction du son à minuit tapante). On a eu droit à une heure de dancefloor à l'ancienne, quel pied !
zavez raté quelque chose les absents, quelque chose de l'ordre du mémorable
PS : Clémentine Célarié, qui était encore là, est défintivement la plus funky des actrices françaises. Respect!