(Alpha Records 643, 1973)

Hank Porter est fou.
Revpop a déjà formulé cette sentence dans sa notule 4th Coming – The Dead Don't Die Alive / (Pt.2).
Hank Porter (Henry "Hank" Porter) est l'homme d'un seul groupe, 4th Coming, sauf pour un 45 tours où il prit le nom d'Impact!, signe d'une cassure après l'enregistrement de "The Dead Don't Die Alive", morceau déjà fou et déglingué, dominé par des synthés d'un autre âge.
Cela devait être un nouveau départ.
Il ré-enregistra alors une nouvelle version de "Don't Let Him Take Away Your Mind", le titre qu'il jugea le plus bankable, une version plus longue et plus sauvage, plus proche de Peckinpah et de sa Horde sauvage que des Temptations, dotée d'un synthé aussi saisissant qu'un visage d'indien peinturluré pour aller chasser la nuit !
 
  Puis après ce fut la curée avec une suite de titres plus déments les uns que les autres : "Waterloo at Watergate", "Come to the Feast" et "Cruising Central Ave" ...
Don't Let Him Take Away Your Mind :
Je vous invite à aller écouter l'intégrale de l'oeuvre de Potter chez Now Again sous le nom de Strange Things, titre étonnant, n'est ce pas ?
Si vous ne me croyez pas, voici ""Cruising Central Ave"" :
 
			

 : lancement du titre et de suite la rythmique entre slow / danse me capte, s'ajoute ce chant typique qui m'attrape le cœur, l'enlace, le tort avec bonheur, ce chant affirmatif, impératif, avec ce souffle insufflé à la limite du craquage émotionnel et craquage des cordes vocales, des chœurs féminins pour alléger la supplice et hop conquise.
  : lancement du titre et de suite la rythmique entre slow / danse me capte, s'ajoute ce chant typique qui m'attrape le cœur, l'enlace, le tort avec bonheur, ce chant affirmatif, impératif, avec ce souffle insufflé à la limite du craquage émotionnel et craquage des cordes vocales, des chœurs féminins pour alléger la supplice et hop conquise.





