Williams Bros. – Ghetto Boy / (Pt.2)
Posté : 20 juin 2015 22:47
Williams Bros. – Ghetto Boy / (Pt.2) (Jemar Records JMR 101, 1973)
Un des singles les plus furioso que Revpop a eu la chance d'écouter. Inhumain.
Un magma de bruit et de fureur de plus de sept minutes.
Cliquez sur le lien puis la page Soulstacks va s'afficher et vous proposer d'entendre la face A ainsi que la face B en deux parties; nous comptons sur votre dextérité d'ex DJ pour qu'il n'y ait pas de blanc entre les deux faces car ce morceau est constitué d'un seul et insécable bloc brut de granit.
Une rythmique d'enfer surgit dès les premières secondes au milieu d'échos sonores du ghetto, des guitares funky s'enflamment sur un tapis de congas, une voix vous prend aux tripes, entre le cri et les pleurs elle s"époumone à force de "Ghetto Boy" qu'elle jette à la face du monde et à la fin de la face A, qui malgré cette tension intense reste encore classique dans la forme, vous entendez au loin, à l'horizon, une levée de guitares sauvages alors cela signifie que l'heure est venue, le glas a sonné, vous devez vous précipiter sur la face B, dans quasiment l'inconnu, où plus rien ne sera comme avant, attachez vos ceintures, vos sens seront attaqués de toutes parts, des paysages apocalyptiques vont défiler à la vitesse de l'éclair peuplés d'ouragans de guitares et d'orgues dévastateurs, une peinture nocturne dominée par le trait de génie et plein de noblesse d'une trompette davisienne sortie droit de la jungle luxuriante de On Corner, figure de proue au visage irradiant de cette caravelle folle qui fend les eaux sombres de cette marée sonore et vous emmène dans ce voyage inoubliable !
Un des singles les plus furioso que Revpop a eu la chance d'écouter. Inhumain.
Un magma de bruit et de fureur de plus de sept minutes.
Cliquez sur le lien puis la page Soulstacks va s'afficher et vous proposer d'entendre la face A ainsi que la face B en deux parties; nous comptons sur votre dextérité d'ex DJ pour qu'il n'y ait pas de blanc entre les deux faces car ce morceau est constitué d'un seul et insécable bloc brut de granit.
Une rythmique d'enfer surgit dès les premières secondes au milieu d'échos sonores du ghetto, des guitares funky s'enflamment sur un tapis de congas, une voix vous prend aux tripes, entre le cri et les pleurs elle s"époumone à force de "Ghetto Boy" qu'elle jette à la face du monde et à la fin de la face A, qui malgré cette tension intense reste encore classique dans la forme, vous entendez au loin, à l'horizon, une levée de guitares sauvages alors cela signifie que l'heure est venue, le glas a sonné, vous devez vous précipiter sur la face B, dans quasiment l'inconnu, où plus rien ne sera comme avant, attachez vos ceintures, vos sens seront attaqués de toutes parts, des paysages apocalyptiques vont défiler à la vitesse de l'éclair peuplés d'ouragans de guitares et d'orgues dévastateurs, une peinture nocturne dominée par le trait de génie et plein de noblesse d'une trompette davisienne sortie droit de la jungle luxuriante de On Corner, figure de proue au visage irradiant de cette caravelle folle qui fend les eaux sombres de cette marée sonore et vous emmène dans ce voyage inoubliable !
où le FUNK est tournoyant, remuant, addictif. Un titre que l'on sent passer avec pour conséquence cette envie de le mettre en boucle et très fort. Quand le lead crie... plaisir absolu des sens. 
