Steve Coleman | Cité de la musique | 5 mai 2011
Posté : 21 oct. 2010 10:43
Cité de la Musique
221 Avenue Jean Jaurès
75019 Paris
Horaire : 20 h 00
Tarif : 26,40 €
Steve Coleman & Five Elements
Steve Coleman : saxophone alto
Jen Shyu : voix
Jonathan Finlayson : trompette
David Virelles : piano, claviers
Miles Okazaki : guitare
Né à Chicago en 1956, imprégné de Charlie Parker tout autant que d’Ornette Coleman, Steve Coleman s’est imposé comme l’une des voix les plus singulières du saxophone jazz. Entre tournées et enregistrements – avec Dave Holland, Sting ou Cassandra Wilson… –, il fonde en 1981 les Five Elements. Syncopes, trames rythmiques funk disloquées dans des métriques irrégulières, vocabulaire souvent proche du free-jazz : c’est une sorte d’avant-garde du jazz qu’il incarne, une creative black music.
Dans les années quatre-vingt-dix, Coleman et ses Five Elements se sont associés à des rappeurs (pour former The Metrics, en 1993), ainsi qu’à diverses autres formations. Mais, comme en témoigne ce nouveau projet, c’est aussi l’antique numérologie musicale qui attire le saxophoniste : « Certaines figures numériques présentes en musique le sont aussi en astronomie », suggère-t-il.
(source : francebillet.fr)
221 Avenue Jean Jaurès
75019 Paris
Horaire : 20 h 00
Tarif : 26,40 €
Steve Coleman & Five Elements
Steve Coleman : saxophone alto
Jen Shyu : voix
Jonathan Finlayson : trompette
David Virelles : piano, claviers
Miles Okazaki : guitare
Né à Chicago en 1956, imprégné de Charlie Parker tout autant que d’Ornette Coleman, Steve Coleman s’est imposé comme l’une des voix les plus singulières du saxophone jazz. Entre tournées et enregistrements – avec Dave Holland, Sting ou Cassandra Wilson… –, il fonde en 1981 les Five Elements. Syncopes, trames rythmiques funk disloquées dans des métriques irrégulières, vocabulaire souvent proche du free-jazz : c’est une sorte d’avant-garde du jazz qu’il incarne, une creative black music.
Dans les années quatre-vingt-dix, Coleman et ses Five Elements se sont associés à des rappeurs (pour former The Metrics, en 1993), ainsi qu’à diverses autres formations. Mais, comme en témoigne ce nouveau projet, c’est aussi l’antique numérologie musicale qui attire le saxophoniste : « Certaines figures numériques présentes en musique le sont aussi en astronomie », suggère-t-il.
(source : francebillet.fr)