Jorge Darden – Alone Again / Please Don't Stop The Music
Posté : 23 oct. 2014 22:12
Jorge Darden – Alone Again / Please Don't Stop The Music (Ladonia 4-D-1290, 1970's)
- "Rien trouvé sur ce gars, Jorge Darden, nada, comme s'il avait disparu de la terre, surement caché dans un désert !"
Revpop raccrocha. Comment pouvait-on disparaître comme cela, sans laisser de trace ?
Au même moment, à des milliers de kilomètres, la nuit tombait, d'un coup, sur un petit pueblo sis sur le flanc de la montagne ocre rouge.
La cour était déserte, sans signe de vie, seules quelques broussailles épineuses voletaient dans l'air aussi légères que des papillons de nuit. Un cercle était dessiné en son centre, comme un Kiva.
Le vieil homme noir, habillé de motifs géométriques échappés du cerveau d'Euclide, sortit par le trou qui servait de fenêtre et descendit les échelles de son pueblo de pierre qui le séparaient du cercle.
Il s'agenouilla et commença à prier dans le silence.
Et d'un coup, Revpop entendit sa voix.
Comme dans "Alone Again" , une voix brumeuse, gazeuse, une voix de l'ombre, légèrement jazzifiante, qui nous inonde de sa tristesse, une tristesse retenue comme si le poids du monde était finalement aussi léger qu'une plume !
Alone Again :
Le seul article sur l'artiste, daté de 1977 et provenant du journal "Desert Hot Springs Sentinel" : Songs for President's Daughter
Si quelqu'un pouvait dénicher la face B "Please Don't Stop The Music" qui, parait il, est aussi hantée que la face A !
- "Rien trouvé sur ce gars, Jorge Darden, nada, comme s'il avait disparu de la terre, surement caché dans un désert !"
Revpop raccrocha. Comment pouvait-on disparaître comme cela, sans laisser de trace ?
Au même moment, à des milliers de kilomètres, la nuit tombait, d'un coup, sur un petit pueblo sis sur le flanc de la montagne ocre rouge.
La cour était déserte, sans signe de vie, seules quelques broussailles épineuses voletaient dans l'air aussi légères que des papillons de nuit. Un cercle était dessiné en son centre, comme un Kiva.
Le vieil homme noir, habillé de motifs géométriques échappés du cerveau d'Euclide, sortit par le trou qui servait de fenêtre et descendit les échelles de son pueblo de pierre qui le séparaient du cercle.
Il s'agenouilla et commença à prier dans le silence.
Et d'un coup, Revpop entendit sa voix.
Comme dans "Alone Again" , une voix brumeuse, gazeuse, une voix de l'ombre, légèrement jazzifiante, qui nous inonde de sa tristesse, une tristesse retenue comme si le poids du monde était finalement aussi léger qu'une plume !
Alone Again :
Le seul article sur l'artiste, daté de 1977 et provenant du journal "Desert Hot Springs Sentinel" : Songs for President's Daughter
Si quelqu'un pouvait dénicher la face B "Please Don't Stop The Music" qui, parait il, est aussi hantée que la face A !